there's no one like you in the universe - OXBURRY

« WHEN YOU MAKE PEACE WITH THE WORLD, YOU MAKE PEACE WITH YOURSELF ☮. » - oxburry , samuel jeremiah

made by lj

what is your name? « Samuel Jason Oxburry but call me Sam or Oxburry. » how old are you? « here » where do you come from? « Chippewa Falls, Wisconsin, USA » Are you in a relationship? « it's kinda complicated » do you like the Glee Club? « whatever. it's cool but idc » what group are you in ? « students » your are ... sportif fêtard de confiance bagarreur protecteur possessif

___ «C'est quand nous croyons que tout ne peut aller plus mal que la vie nous fait connaître d'autres facettes déplaisantes et nous rends à l'agonie.

___Mon histoire n'est pas la pire de toute. J'en suis convaincu. En effet, j'ai tout ce que j'ai de besoin pour survivre ; eau potable, toit, éducation, absolument tout. J'aimerais dire même que j'en ai beaucoup trop. Je suis pourtant beaucoup trop égoïste pour dire cela. Je me compte bien chanceux d'avoir tout cela mais si j'avais à choisir ce qu'était le réel bonheur, l'argent n'en ferait pas parti. Nous ne sommes jamais satisfait de ce que nous avons, nous voulons toujours plus, et c'est exactement cette façon de pensée qui me tue, tous les jours, qui me rend coupable. Je me présente : je m'appelle Samuel Jeremiah Oxburry, j'ai 17 ans et j'ai une soeur plus jeune que moi.

___Quand j'étais petit, mes parents étaient toujours à la maison. Ils étaient le couple idéal, le couple parfait. Je rêvais de grandir et d'être comme eux : de vivre le parfait bonheur. Mon père et moi vivions les activités typiques pères/fils. Il m'apportait souvent pêcher et nous parlions de voitures, de filles (même si j'étais en bas âge) : il était mon meilleur ami gars. Nous avions une sorte de complicité inexplicable ; je l'adorais et il m'adorait. Il était humoristique et maladroit, mais il avait toujours le sourire coller au lèvre avec une blague hilarante à placer exactement au bon moment. Ma mère était douce et généreuse. On disait d'elle une «soie». Elle n'hésitait jamais à venir en aide à qui que ce soit. Elle n'avait aucun ennemi et elle avait un esprit maternel digne de la meilleure maman au monde. Je me suis rendu compte, un jour de mes dix ans comme les autres, que le compte de fée dans lequel je vivais n'était pas si parfait après tout. En effet, j'arrivais de l'école comme tous les jours mais tout était différent. Je me rappellerai cette scène toute ma vie.

___Notre maison, habituellement chaleureuse et bien à l'ordre était une soue à cochon. Les meubles étaient tassés, les lumières brisés, il y avait de la vitre de bouteilles d'alcool par terre et le plancher était couvert de gouttelettes rouges. Le plus marquant, c'était ma mère qui se tenait, là dans un coin, remplie de sang, recroquevillée. Elle était faible, claquait des dents et tremblait devant l'homme qui se trouvait devant elle. L'homme était en fait mon père, celui qui avait pu être à mes yeux le sauveur de l'apocalypse. Je n'y comprenais rien, tout ce que je savais, c'est que je n'allais pas laissé ma mère dans cet état devant mon soi-disant père qui la menaçait. Je me suis dirigé vers ma mère ordonnant à ma soeur d'aller se cacher sous son lit. Je me suis planté devant ma mère et j'ai confronté mon père du regard. Je n'avais que dix ans, oui, mais il a tout de suite compris. Je l'ai fixé longtemps, mon cerveau comprenait au fur et à mesure que les secondes passèrent. Je dus fusiller mon père pendant une bonne demi-heure. J'y ai passé toutes mes émotions. La colère s'empara d'abord de regard suivi de la tristesse, ensuite de la désolationt et finalement d'arrogance. Par mes yeux, j'ai fait fléchir mon père, il a lâché sa bouteille de fort et s'est mis à pleurer implorant son sort. Il avait levé la main sur ma mère violemment, l'avait réalisé et l'avait regretté trop tard. Le fusillant toujours, j'ai parlé une seule fois avant qu'il s'exécute (non il ne s'est pas suicidé). « Pars » lui ai-je dit.

___Mon héro est disparu à ce moment-là. Mon père n'a eu le temps que de dire «Je regrette, je ne reviendrai plus, je suis un danger, je m'excuse. Je vous aime et ne vous oublierai jamais. En revanche, oubliez-moi, je suis désolé. ». Je ne l'ai jamais revu, jamais reparlé. C'est ce qui causa en moi la prudence mais surtout la peur.

___À l'école je me fais respecté, je suis le quart-arrière de l'équipe de football élite de l'école. Je me tappe des plus ou moins bonnes notes, on me prend pour un abruti et toutes les filles sont à mes pieds (façon de parlé). Je suis la brute qui ne brutalise pas, je passe dans les couloirs et beaucoup sont intimidés, je suis celui qui n'est pas sensible, un dur, presqu'un macho. Si on me connaissait qu'un soit disant mieux, on verrait bien que je ne suis qu'un doux gentlemen au coeur tendre et attristé. La seule fille qui ne m'est jamais vraiment intéressé est Abigail. Cependant, mon meilleur ami William et elle sortaient ensembles. C'est moi même qui les a présenté l'un à l'autre. Ne voulant pas mettre une merde pour une fille dans notre amitié, je n'ai jamais parlé à William de mon attirance envers sa copine. Je dois avoir sortit avec quatre ou cinq filles pour me changer les idées mais rien n'a jamais rien marché.

___Il y a un an, mon meilleur ami William est mort. Je n'en suis pas encore revenu. Je me sens si coupable, je lui ai caché mon amour pour sa copine sept mois, je l'ai trahi. Je l'aime mais je culpabilise ; comment puis-je aimé celle qu'aimait William, mon pote. Mon monde s'est complètement écroulé depuis sa mort. J'ai même touché à l'alcool, et je le fais beaucoup trop souvent. J'ai peur, oui j'ai peur. Je ne veux maintenant que le bonheur d'Abigail, je ne veux la toucher, je ne veux la faire souffrir. Et je ne veux surtout pas trahir mon meilleur ami encore, Je m'excuse Will'.. »

ton prénoms/pseudo? « Lauri-Anne/Addicted/Jean-Jacques » ton âge? « 15 323 432 ans » pays? « Canada» ton avatars? « ChaceOrgasmiqueCrawford » que pense tu de MTT? « greaaaaaat il y a des paroles d'Imagine partout partout (: » quelque chose à ajouter? « here »

YOU?

BIENVENUE