WILLIAM | Oh, I like that. [FINIT]

« WHEN YOU MAKE PEACE WITH THE WORLD, YOU MAKE PEACE WITH YOURSELF ☮. » - Stolkin William Nicos

made by Silkstocking ; Doomsday & Jinx

what is your name? « William Nicos Stolkin » how old are you? « 19 ans » where do you come from? « New-York » Are you in a relationship? « Célibataire » do you like the Glee Club? « Oh no ! » what group are you in ? « Student » your are ... Intelligent Chiant Infidèle Rusé Curieux Indépendant

___ Il nait le 18 Août à New-York. Mais attention, pas dans un de ces ghettos ou petites banlieues modestes. Attendez, c'est de William qu'on parle ! Non, il grandit en bordure de la ville, vous savez, là ou les riches font construire d'immenses maisons, bien trop grande pour le nombre de personnes qui vivent dedans d'ailleurs. Mais c'était une façon de montrer que oui, nous, on a les moyens de dépenser de l'argent inutilement. Enfin bref, il grandit donc là-bas, toujours dans la même maison. Ses parents n'ont jamais déménagé, bien trop attachés à cette maison familiale qu'ils avaient fait construire alors qu'ils attendaient leur premier enfant, sans savoir que ce serait l'unique. Parlons un peu de ses parents. Son père, Charles, était issu d'une famille de la haute bourgeoisie. Sa mère, Catherine, bien que n'étant pas de la bourgeoisie elle restait la fille d'un riche banquier Américain. Autant vous dire que s'il y a bien une chose dont il n'a pas manqué dans sa vie, c'est d'argent. Son père était souvent absent et de toute façon quand il rentrait il râlait, buvait son verre de whisky et allait s'enfermer dans sa pièce. Sa mère elle s'occupait comme elle pouvait. Elle se concentrait beaucoup sur les galeries d'art et prêtait souvent de l'argent à de jeunes artistes qui voulaient se lancer. Malheureusement, après un violent accident de voiture, madame ne pu plus avoir d'enfant. William serait leur unique hérité.


Très tôt ses parents se sont rendu compte du caractère de leur fils. Mais ils n'ont rien fait pour changer cela, au contraire même. Sa mère le choyait, persuadé qu'avec beaucoup d'amour et de liberté il changerait. Mais, comme le dit si bien notre cher William : Elle se fourrait le doigt dans l'œil, jusqu'au coude. Il n'avait pas vraiment de modèle paternel, puisque ce dernier ne s'occupait pas vraiment de lui. Sauf pour lui parler argent ou business. Conversation qui d'ailleurs, ennuyait fortement le jeune homme. Fainéant, il ne pratiqua jamais aucune activité. Ou du moins, jusqu'à l'âge de 14 ans ou il comprit l'importance de son physique auprès des gens. Il se mit alors à faire quelques exercices de façon régulière afin de se muscler. Ce qu'il réussit plutôt bien même s'il reste encore assez fin. William était perfide et manipulateur. Il aimait causer des ennuis à tout le monde, sans raison particulière. Il était aussi narcissique, égocentrique et prétentieux. A table, il devait manger en face du miroir, au-dessus de son lit était également installé un miroir et il ne partait jamais sans en emporter un avec lui. Au cas où, comme il disait souvent.


Plus il grandissait, plus il prenait du plaisir à emmerder les autres. C'était devenu comme vital, nécessaire. S'il passait une journée sans déranger personne il devenait fou le soir. William est en effet quelqu'un d'assez capricieux et il est attaché à sa petite routine quotidienne. Il devint aussi affable avec les femmes, les traitants comme de vulgaires objets. De toute façon il était persuadé que cela ferait comme avec sa mère : il se marierait avec une femme riche, il travaillerait et elle ne glanderait rien à part dépenser le fric qu'il gagne. Oui, autant vous dire qu'il avait une sale image de sa mère. D'ailleurs, il ne lui renvoyait pas du tout l'amour qu'elle lui donnait. Il l'a méprisait autant qu'il pouvait. Mais il avait beau lui reprocher pleins de choses il ne valait pas mieux. Toujours en train de dépenser l'argent de son père à droite à gauche pour un rien. Puisqu'il avait les moyens d'avoir le plus cher, pourquoi se priver ? William disposait de très peu d'amis et il était prêt à les trahir à la première occasion. Peut-on alors réellement parler d'amis ? De toute façon, il s'auto-suffit. Et bien oui, quoi ! Y a-t-il meilleure compagnie que lui-même ? Non, évidemment.


En plus d'être faignant il était sale. Heureusement pour lui qu'ils avaient des femmes de ménage, sinon sa chambre serait vite devenue une véritable porcherie. Et le reste de la maison aussi, car oui, William à un léger côté envahissant et partout où il passe il laisse des traces. Peut-être sa façon à lui de marquer son territoire. Très curieux, il aimait se mêler de tout ce qu'il se passait autour de lui, et il n'hésitait pas à user de ses relations pour obtenir les informations qu'il souhaitait. Mais si ses parents lui passaient autant de choses, c'est aussi parce qu'en cours il brillait. Très intelligent, il était toujours dans les meilleurs. Certes il n'arrivait pas forcément à s'attirer la sympathie de ses professeurs et dans le bulletin il n'était pas rare de voir à côté de ses moyennes telles que 18/20 ce genre d'appréciation : A un cerveau, mais ou est le coeur ? Ou alors : Élève brillamment désagréable. Enfin bref, vous voyez le genre. Sa mère lui faisait parfois quelques sermons, lui disant qu'il salissait l'image de la famille à s'attirer les foudres d'autant de personnes. Mais il s'en moquait, mais alors royalement ! Et puis, il y eu un élément déclencheur. Il sortait avec la fille d'un riche industriel du pays, relation avec eux importante et privilégié pour sa famille. Et William, encore une fois n'en fit qu'à sa tête. Il entraîna la jeune fille dans des soirées et la fit goûter à quelques drogues, elle finit sa nuit à l'hôpital. Un mois plus tard, tout le monde savait qu'il l'a trompait de partout et tout le temps. La famille de la fille rentra dans une colère noire et une violente dispute éclata entre eux et les Stolkin.

Par la suite, les parents de William décidèrent de l'envoyer loin d'eux, histoire qu'il ne détruise pas complètement leur image. Le jeune homme était fou de rage et refusa catégoriquement de quitter New-York. Mais ses parents le menacèrent de lui couper les vivre sinon. Résigné, il du accepter. Il se retrouva alors envoyé ici, dépité par cette minuscule ville. Il découvrit un monde un peut trop "peace&love" à son goût, avec une chorale des plus déplorable et détestable. Il détestait ses parents de l'avoir envoyé ici. Ils lui payaient un appartement dans la ville, certainement un des plus luxueux. De plus, pour se faire pardonner ses parents lui avaient payé une superbe cadillac eldorado rouge et neuve. C'est vrai qu'en allant au lycée avec ça, il avait la classe, mais il restait insatisfait. Alors, pour s'occuper du mieux qu'il pouvait il continuait de monter ses coups tordus, ses plans cul etc. Personne n'y échappait. Et surtout pas Maxyne Hastings. Cette jolie blonde qui craquait sur Seeley. Alors elle, il ne l'a loupait pas ! Sans cesse derrière elle à l'embêter, lui envoyer des piques. D'ailleurs, l'idée de la mettre dans son lit l'intéressait plutôt pas mal. Alors, il monta encore un plan machiavélique et passa un marché avec elle : il lui arrangeait un coup avec Sleely et si ça ne marchait pas, elle lui était... Disons, redevable. Je vous laisse deviner ce qu'il a pu lui demander.




Je sais, vous vous dites : Attends, il nous cache quelque chose ce n'est pas possible. Regarde, il n'y a rien de marquant dans sa vie. Pas de faits particuliers, bouleversants ni rien... Ahah, mais c'est normal mes agneaux. C'est moi qui marque la vie des autres, et non pas l'inverse. Vous vouliez vraiment que je vous raconte toutes les vacheries que j'ai pu faire ? Tous les coups tordus que j'ai montés ? Vous vous lasseriez, bien que je reconnaisse le fait que tout ce que j'ai entrepris est merveilleusement bien marché et que la fin fut plus méchante à chaque fois. Ce n'est pas non plus que je n'aime pas parler de moi, si je me lançais je ne m'arrêterais jamais tant je suis un sujet de conversation passionnant. Mais j'ai un côté direct, à vivre l'instant présent. Alors je préfère vous faire la surprise, me dévoiler entièrement en étant face à vous. Vous craignez le pire ? Mais non mes petits, vous allez m'adorer ! Vous verrez, à la fin je serais le sujet principal de vos conversations. Et comme me le répétait sans cesse ma mère : Si je n'existais pas, il faudrait m'inventer.

ton prénoms/pseudo? « Mathilde/SVG » ton âge? « 17 ans » pays? « France » ton avatars? « Ed Westwick » que pense tu de MTT? « Si je m'inscris c'est que forcément j'ai trouvé le contexte attrayant ^^ » quelque chose à ajouter? « Vous verrez, vous allez m'aimer *sors* »

YOU?

toi; Vous verrez, vous allez m'aimer
moi; JE T'AIME DÉJÀ


et j'aime ED à la folie.
tu me réserves un super lien.
tu n'as pas le choix (a)

Mouahaha, je savais que tu m'aimais
Ah bah oui, de toute façon c'est obligé qu'on se fasse un super méga lien tout les deux *on a ça dans le sang xD*

Héhé, ouai comme tu dis
Han oui mince, en effet c'est une faute d'innatention, autant pour moi ! Je modifie ça de suite

Huhu, en effet, je pense que SEXWICK lui correspond tout à fait
Et merci & derien

Oh oui, appel moi le plus beau
De rien, de rien, de rien ^^ Et merci à toi d'avoir créé ce scénario